De piedras definitivas

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Lucile Piketty

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Tous droits réservés Lucile Piketty

  • De piedras definitivas

    Livre d’artiste, 45 x 60 cm, 2018.
    Série de 36 gravures à l’aquatinte, plaques de cuivre.
    Reliure : Atelier Dreieck
    Au fil des siècles, différentes cultures ont été présentes sur le territoire ibérique.
    Les murs témoignent de ces civilisations passées, qui se sont côtoyées et influencées. Édifiés par strates successives, abandonnés ou recouverts ils créent des villes-palimpsestes à l’image de Madrid. S’attarder sur ces signes offre la contemplation de siècles sédimentés.
    Dans Jeu et théorie du duende, le poète espagnol Federico Garcia Lorca définit l’Espagne comme «une terre de chardons et de pierres définitives». Inspirée par cette image, j’explore la ville à la recherche de traces et de stigmates qui, demeurant aujourd’hui dans le paysage contemporain, témoignent de l’empreinte du temps qui passe et effectue un travail d’anamnèse.
    Avec un dispositif à la frontière de la gravure et de la photographie, je tente de figer ces strates temporelles dans le métal.
    Mordues par l’acide, les plaques de cuivre restituent les fragments de murs qui resteront gravées, dans une quête vaine d’enrayer le temps.

  • 2018, livre d'artiste, 45 x 60 cm.
  • 2018, livre d'artiste, 45 x 60 cm.
  • 2018, livre d'artiste, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, aquatinte, 45 x 60 cm.
  • 2018, plaque de cuivre gravée, 35 x 50 cm.
  • Vue de l’exposition ¡Viva Villa! à la Villa Méditerranée, Marseille, octobre 2018.
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